Mars 2006
Parce que…
accompagnée à l’accordéon
par
Photo
Michel Quenneville
Parce que…
accompagnée à l’accordéon
par
Après une création piano/voix autour de Vian,
Aragon, Ferré, Léonardi… pour laquelle elle obtient le Prix de
Choisir de se confronter au répertoire de Barbara
n’est pas une mince affaire. C’est s’offrir les habits d’une autre, s’autoriser
à partager une âme à la fois étrangère et proche.
Risquée et réfléchie, sa démarche ne perd jamais de
vue le respect et
Une humilité et une passion que l’on retrouve dans
une sélection qui ressuscite des chansons moins familières de Barbara : un
choix inspiré par le cœur, des sensations de femme et des phrases en écho à sa
propre histoire.
Comme toutes les histoires d’amour, ce concert est
aussi une histoire de partage. Celle d’une interprète et d’un instrumentiste.
Une voix et un accordéon, celui de
Enfin, le chant et la solitude de la voix face au
poids des mots. Les chansons de Barbara dessinent le parcours d’une héroïne de
tragédie.
De son parcours, on pourrait évoquer le ciel de
l’Europe de l’Est originaire et la terre de la culture française. De la
comédienne, on pourrait dire l’apprentissage au Conservatoire national
supérieur d’art dramatique de Paris (1978-81), la rencontre avec des auteurs
célèbres : Brecht, Jarry, Schwartz… et des metteurs en scène
chevronnés : Strehler, Topor, Bluwal, Besson, Moreau…, une succession de
rôles, d’univers et de langages.
Principaux
spectacles musicaux
Nine, comédie musicale mise en scène par Saverio Marconi aux Folies
Bergère (1997).
Rôle de Liliane Lafleur, créé à Broadway
par Liliane Montevecchi.
Création piano/voix autour
de
Vian, Aragon, Ferré, Léonardi… au
Notes de champagne, mis en scène
par Alain Germain, créé au Grand Théâtre de Reims (2004).
Parce que…, création voix/accordéon, autour des
chansons de Barbara, Festival d'Avignon 2005 et sortie de l’album en février
2006.
Camille C, comédie
musicale mise en scène par Jean-Luc Moreau
au Théâtre de l'œuvre
(Paris). Molière 2005 catégorie
« Spectacle inattendu », Prix de la création 2005 au Festival des
Comédies Musicales « Les Musicals » (Béziers) et Prix Claude-Michel
Schönberg de la meilleure chanson de comédie musicale « Je suis
Camille ».
Rôle de Camille Claudel internée.
En 2000, il crée sa propre formation avec Hubert
Dupond et Antoine Banville, à laquelle se joindra le tromboniste Gueorghi
Kornazov, et joue également dans le groupe Hradcany avec Serge Adam et Philippe
Botta.
En 2002, il enregistre son 1er disque en solo, « Cascade », qui sortira en 2003 chez Harmonia Mundi (Le Chant du Monde). L’année suivante il est l’invité du quartet de David Linx et Diederick Wissels, et participe à la création de Jean Christophe Cholet « Slavonique Tone ». On peut également l’entendre aux côtés de John Greaves, Denis Leloup, Sylvain Beuf.
«
Chorus
- Michel Trihoreau
(Festival d’Avignon 2005)
« Un
vertige, un enchantement… Divine,
La Gazette du Festival
– Sarah Boccon Gibod (Festival
d’Avignon 2005)
« C’est grâce aux
interprètes qu’un répertoire continue d’exister ; encore faut-il savoir le
réinventer, le colorer à sa manière, le rendre singulier, se le réapproprier en
somme. Cela n’est possible que si les interprètes sont à leur tour créateurs et
qu’en tant que tels, ils prennent la liberté d’interpréter, au sens propre
d’être un intermédiaire entre l’œuvre et le public. Par leurs parcours
respectifs,
En musique, qui sait
faire le moins peut le plus. S’il peut faire des merveilles de ses dix doigts
qui en paraissent vingt, voilà un musicien qui n’a pas besoin de nous éblouir
pour nous toucher, c’est là sa grande élégance.
France
Musique - « On connaît la
chanson… » - Laurent Valero (Mars 2004)
« C’est
l’eau et le vent : Annick et sa présence lumineuse, voix minérale,
rivières, cascades, lacs, douceurs : intelligence de l’âme, maîtrise des
tempêtes. C’est la terre et le feu : David, la braise au bout des doigts
accordéon, dont il joue comme d’un arbre, impétuosité et maîtrise, incendie
soutenu. Ensemble pour chanter Barbara qui est là derrière eux, qui les a
choisis évidemment ».
Le Sous-Sol (Paris) - Cathy Sabroux (Mars 2004)
« (…) Une présence avant d’être une voix. Puis
l'une et l’autre, sans forcer. avec évidence. Et voilà qu'en notes nues,
ténues, retenues, montent les rêves et les regrets de L’île aux mimosas. Des
mots qui n'ont pas été écrits pour elle, mais semblent consubstantiels à cette
voix-là. (…) Si les media tardent à réagir, les amateurs, eux, savent déjà
qu'ils ont affaire à une véritable interprète. (…) Et, déjà, c'est l'accordéon de l’excellent
La lettre des amis de Barbara (Printemps 2004)
« Que dire ? J'écoute et je suis bouleversée… C'est
très rare. Au milieu du tintamarre… un rêve,
un bonheur. Oui, ça existe ! J'espère que vous l'entendrez comme
moi ».
Cora Vaucaire
• Le Sous-Sol
(Paris, mars 2004)
•
Festival
Shelton (Angleterre, juin 2004)
•
Festival
Les Nuits de nacre (Tulle, septembre 2004)
•
Salon de
musique de La Mirande (Festival d’Avignon
« off », juillet 2005)
•
Les Étoiles (Paris, octobre 2005)
• L'étrangère (Louis Argon/Léo
Ferré)
•
Je chante
pour passer le temps Louis Argon/Léo
Ferré)
•
Il n'aurait
fallu (Louis Argon/Léo Ferré)
•
Tu n'en
reviendras pas (Louis Argon/Léo
Ferré)
•
Elsa, mon
eau vive (Louis Argon/Lino
Leonardi)
•
Le Tzigane (Boris Vian/Janine Bertille)
•
•
Feutre Taupé
(Charles Aznavour/Pierre Roche)
•
Ne vous
mariez pas les filles (Boris Vian/Alain
Goraguer)
•
J'aime pas (Boris Vian/Claude LAurence)
•
J'coûte cher
(Boris Vian/Jimmy Walter)
•
La valse
jaune (Boris Vian/Marguerite
Monnot)
•
Blues (Louis Argon/Léo Ferré)
•
Un jour,
j'ai cru te perdre (Louis Argon/Lino
Leonardi)
•
A tous les
enfants (Boris Vian/Claude Vence)
•
Y'en a marre
(Léo Ferré/Léo Ferré)
© Celluloïd Mélodie/1999
• Là-bas (Wertheimer/Barbara)
•
A peine (Barbara/Romanelli)
•
Les hautes
mers (Wertheimer/Barbara)
•
Gottingen (Barbara)
•
L’homme en
habit rouge (Barbara/Barbara-Bourgeois)
•
L’île aux
mimosas (Plamondon/Barbara)
•
Perlimpimpin (Barbara)
•
Parce que
(je t’aime) (Barbara)
•
Seule (Barbara)
•
Le minotaure (Wertheimer-Barbara)
•
Du bout des
lèvres (Barbara)
•
Les
insomnies (Barbara)
•
Rémusat (Barbara)
•
Mon enfance (Barbara)
•
A mourir
pour mourir (Barbara)
•
Plus rien (Barbara)
© Celluloïd-Rue
Stendhal/2006